Petit grognement sur ma belle-famille qu’on a eu en facetime. Une de mes nièces vient d’entrer au collège, et une de ses amies est victime de harcèlement de la part d’une 3ème fille. Elle l’a dit à la cpe au tout début, qui a haussé les épaules. Elle l’a dit à ses parents qui lui ont interdit de faire quoi que ce soit pour qu’elle ne soit pas la cible de la harceleuse. Le pire ? Ils connaissent la mère de la harceleuse (petite ville, tout le monde se connait) mais non ils ne bougeront pas, et ont même sorti "faufra pas en parler à la brocante à X parce que c’est la belle-soeur de Y (la mère en question)
J’hallucine. Ça me met hors de moi. Je vois que ma nièce est ultra mal à l’aise avec tout ça, je sais pas comment je vais faire pour pas exploser au prochain repas de famille. Mes beaufs en plus sont des gueulards à la limite entre gilet jaune - anar du RN - antivax donc bien prompts à se plaindre à haute voix des arabes, des pauvres et du reste, à faire des rodomontades sur n’importe qui et quoi (genre dans la famille de M Shell ils limitent au maximum leurs invitations et font même des plans pour avoir que les enfants tellement c’est affreux d’être dans la même pièce qu’eux) et là soudain, on se dégonfle pour pas être emmerdés dans son petit train et les invit’ d’apéro barbecue.
En plus je sais pas quoi lui dire à ma nièce. J’ai subi un harcèlement bien violent à l’école et au collège et pareil, aucun adulte a levé le doigt, mais c’était une époque où le mot n’était même pas prononcé. Mais je sais combien ça ravage l’estime de soi.
Une dénonciation auprès du rectorat en accusant le personnel de l’établissement de mise en danger, c’est possible ? Ou au commissariat en temps que partie concernée par le bien être de la gamine ?
Quels parents de merde. Si ça empire et que ça se termine en fait divers avec leur gosse qui se suicide, ils diront alors que c’est la faute de l’éducation nationale, c’est ça ?
Mon souci c’est que ma nièce n’est pour l’instant que témoin, pas victime, et que je ne connais aucun nom, pas même son collège. Je vais lui parler du numero vert la prochaine fois que je la vois en privé, surtout si les choses n’ont pas évoluées.
Petit grognement sur ma belle-famille qu’on a eu en facetime. Une de mes nièces vient d’entrer au collège, et une de ses amies est victime de harcèlement de la part d’une 3ème fille. Elle l’a dit à la cpe au tout début, qui a haussé les épaules. Elle l’a dit à ses parents qui lui ont interdit de faire quoi que ce soit pour qu’elle ne soit pas la cible de la harceleuse. Le pire ? Ils connaissent la mère de la harceleuse (petite ville, tout le monde se connait) mais non ils ne bougeront pas, et ont même sorti "faufra pas en parler à la brocante à X parce que c’est la belle-soeur de Y (la mère en question) J’hallucine. Ça me met hors de moi. Je vois que ma nièce est ultra mal à l’aise avec tout ça, je sais pas comment je vais faire pour pas exploser au prochain repas de famille. Mes beaufs en plus sont des gueulards à la limite entre gilet jaune - anar du RN - antivax donc bien prompts à se plaindre à haute voix des arabes, des pauvres et du reste, à faire des rodomontades sur n’importe qui et quoi (genre dans la famille de M Shell ils limitent au maximum leurs invitations et font même des plans pour avoir que les enfants tellement c’est affreux d’être dans la même pièce qu’eux) et là soudain, on se dégonfle pour pas être emmerdés dans son petit train et les invit’ d’apéro barbecue.
En plus je sais pas quoi lui dire à ma nièce. J’ai subi un harcèlement bien violent à l’école et au collège et pareil, aucun adulte a levé le doigt, mais c’était une époque où le mot n’était même pas prononcé. Mais je sais combien ça ravage l’estime de soi.
La vache, pas évident ta belle famille.
Si personne ne veut écouter ta nièce, tu ne peux pas la convaincre d’appeler le 3018 ?
Une dénonciation auprès du rectorat en accusant le personnel de l’établissement de mise en danger, c’est possible ? Ou au commissariat en temps que partie concernée par le bien être de la gamine ?
Quels parents de merde. Si ça empire et que ça se termine en fait divers avec leur gosse qui se suicide, ils diront alors que c’est la faute de l’éducation nationale, c’est ça ?
Mon souci c’est que ma nièce n’est pour l’instant que témoin, pas victime, et que je ne connais aucun nom, pas même son collège. Je vais lui parler du numero vert la prochaine fois que je la vois en privé, surtout si les choses n’ont pas évoluées.
Quelle horreur
Je n’y avais pas pensé, je vais essayer de lui glisser le mot loin de ses parents.